Mais
souvenez-vous… là-bas, très loin, du
fond de notre ignorance et de nos quinze ans, nous rêvions
d'amour, d'amitié. Déjà nous
connaissions la solitude, mais cette solitude, nous cherchions des mots
pour l'embellir, l'excuser et surtout la circonscrire.
Me voici seul dans ma chambre.
Seul.
…ce soir, mon souhait enfin réalisé,
je me trouve disponible à moi-même.